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éclair I – Bernard Plossu, Santa Fe – New Mexico, 1980. Photographies 1963-1985. L’état de lieux. Éditons de la différence. II – Pedro de Moraes, Valença, Estado do Rio de Janeiro, 1975. Vivendo.

CRÉATION I – Bernard Plossu, « Françoise et Joachim », 1986. II – Dityvon, Douchy, 1986.

AUTOPORTRAIT, AUTOBIOGRAPHIE, AUTO REPRÉSENTATION I Fenêtre-miroir Les deux figures fondatrices qui marquent les origines de la photographie sont la fenêtre et le miroir. La première photographie à Saint-Loup de Varennes vers 1827, est réalisée par Nicephore Niepce à travers l’embrasure de la fenêtre de la propriété du Gras. Le boulevard du Temple, le grouillant boulevard

AUTOPORTRAIT, BERNARD PLOSSU Bernard Plossu n’est pas de ces photographes pour qui la sphère intime est un domaine réservé, privé. Il pense la vie, la poésie sans frontière, comme les nuages. Il y a de l’intime dans le regard sur le monde, il y a du monde dans l’intime, c’est patent dès Le voyage mexicain

AUTOPORTRAIT 1958 – JEAN MARQUIS Pour avoir travaillé les archives de Jean Marquis, il m’est apparu que l’autoportrait n’a pas été abondamment pratiqué par ce photographe. Celui-ci est donc remarquable à plus d’un titre. Il a été réalisé à Merlebach, au vestiaire de la mine après « la remonte ». Jean Marquis y effectue un

Sans résistance, ni rétention, Willy Ronis a accepté cet entretien, qu’il a nourri avec grande clarté et précision. Cela permet de mettre à jour une composante importante de sa démarche. Bien sûr, un livre sur ce thème est paru en 1996, chez Fata Morgana, et un film « Willy Ronis, autoportrait d’un photographe » par

LA PHOTOGRAPHIE DE MARIAGE La photographie de mariage change depuis plusieurs décennies. L’évolution des techniques a permis une évolution des demandes de représentation. Dans cette perspective, il nous a semblé intéressant de recueillir le point de vue de deux « photographes sociaux », Philippe Lesage et Daniel Maigné, qui ont par ailleurs une démarche d’auteur

BERNARD JOSEPH : MICHEL SÉMÉNIAKO – AUTOPORTRAITS NÉGOCIÉS Michel Séméniako, Hôpital Psychiatrique de Saint-Dizier, 1984 Toute photographie résulte d’une tension entre le réel et le poétique. L’œuvre de Michel Séméniako explore depuis maintenant plusieurs années cette relation : sa pratique artistique s’appuie sur une « négociation » qu’il tient pour le noème (1) de la

FABIANA FIGUEIREDO : UNE DÉMARCHE AUTOBIOGRAPHIQUE – Quand as-tu commencé cette démarche autobiographique ? J’ai commencé à 18 ans en 1982 quand je suis entrée à l’université, au début de ma pratique de la photographie. C’était d’abord une approche de l’autoportrait mais très vite des amis photographes, amateurs ou non, m’ont photographiée. Par exemple, Eustaquio

AUTOPORTRAITS DE FAMILLE, GUILLAUME GENESTE Photographier est pour moi un acte amoureux intimement lié à ma rencontre avec Colette en mille-neuf-cent-quatre-vingt-onze et un comportement face au temps qui passe. Je photographie par envie et besoin en choisissant les moments dont je veux garder le souvenir, prenant les images de notre vie à bout de bras